Je m'étais mis à gamberger sur la vie des grossiums qui créchaient dans ce coin.
[...] Dans cette avenue, où personne ne se déplace à pinces, que les larbins et les flics, ils étaient parvenus à se faire ménager des trottoirs comacs, plus larges que la chaussée de la plupart des rues de Belleville, avec encore des arbres et du gravier pour que les bonniches puissent commodément faire débourrer le cador !
Albert Simonin