Plusieurs années sans rien écrire ! Et pourtant j'ai lu et j'aurais pu enrichir ce blog de quelques perles.
En voici une. Je ne suis pas sûr d'aimer tout ce qu'écrit Isabel Allende, loin de là. Mais cette phrase est belle et bien construite. On "voit" la scène comme si l'on regardait un tableau et, de surcroît, on lit dans la tête des personnages :
"Ambos iniciaron entonces uno delos aburridos noviazgos de provincia, incómodo en su traje de lino blanco y sus botines lustrados, Amadeo la visitaba todos los días bajo la mirada atenta de la futura suegra o de alguna tía, y mientras la señorita servía café y pasteles de guayaba, él atisbaba el reloj calculando el momento oportuno de despedirse."